06/12/2017
CUBA VUE PAR TV SERRANA
SLVie COSTIÈRES – CMCAS LANGUEDOC CUBA COOP
Vendredi 8 décembre 2017- Salle Verdier 18h30
222 rue de Maupassant Nîmes
CUBA vue par TV Serrana : Installée le petit village de San Pablo de Yao, dans la Sierra Maestra, TV Serrana est la première télévision communautaire cubaine, et la seule de ce genre dans toute l’Amérique Latine. Depuis 1993, elle a produit plus de 500 documentaires « reflétant et défendant l’identité, les valeurs humaines et la culture des habitants de la Sierra Maestra ».
Jean-Michel Gramond responsable de Cuba solidarité collabore avec des professionnels de la TV Serrana. IL PRÉSENTERA 2 FILMS
- sur les vendanges au domaine de Carvète à Murles
- un documentaire réalisé dans la sierra maestra sur la culture du café.
BILAN sur la COOPÉRATION FRANCO – CUBAINE
Échange et convivialité
16:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/11/2017
ÉLECTRICIEN SANS FRONTIÈRES
ÉLECTRICIENS SANS FRONTIÈRES
Vendredi 1er décembre
222 Rue Guy de Maupassant
ZAC du Mas Verdier à NÎMES 18H00
(En bordure du Bd Périphérique)
Près de 1,2 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité. Or, l’accès à l’énergie représente un levier puissant de croissance économique et participe au recul de la pauvreté dans les pays en voie de développement.
C’est donc un des principaux défis des acteurs de la solidarité internationale.
Présentation d’Électriciens Sans frontières et des actions menées par des agents des IEG avec l’aide de la CCAS.
Films, diaporama, exposition et débat suivi d’un apéritif.
Entrée libre.
20:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/11/2017
CONFÉRENCE-DÉBAT AVEC BERNARD FRIOT ÉMANCIPER LE TRAVAIL
SLVie COSTIÈRES
Amis de l’HUMA
CMCAS Languedoc
17 novembre 2017 18 h 30 Salle Verdier
222 rue Guy de Maupassant Nîmes
Le modèle capitaliste du travail conduit à notre perte : il est urgent de prendre la mesure des dynamiques porteuses d'émancipation.
Bernard Friot, dans ces entretiens, décrit le conflit social depuis 1945 comme un affrontement entre deux façons contradictoires d’attribuer une valeur économique au travail. Pour le capital, seul un travail soumis aux propriétaires lucratifs et au marché du travail produit de la valeur. Mais les luttes syndicales et les initiatives populaires ont institué au contraire, grâce à la socialisation du salaire, une reconnaissance du travail tout autre, fondée sur le salaire à vie, sur la propriété d’usage des entreprises par les salariés, sur un investissement libéré des prêteurs, sur une autre mesure de la valeur que le temps. Cet ouvrage nous montre comment nous inventons, depuis plus de 60 ans, un travail libéré de l’emprise capitaliste.
Nos entretiens sont l’occasion de présenter simplement cette analyse, de répondre aux objections et de proposer une démarche d’émancipation concrète. Il m'a semblé important, à moi qui ai vécu avec tant d'autres dans ma chair la maltraitance de l'emploi et du chômage, de contribuer à cet ouvrage de combat. Nous pouvons sauver notre peau.
Bernard Friot : Bernard Friot commence sa carrière universitaire en 1971 à l'IUT de l’université de Lorraine en tant qu'assistant puis maître de conférences en économie. Sa thèse d’État d’économie porte sur la construction de la Sécurité sociale en France de 1920 à 1980. Il y conteste l’interprétation de 1945 qui fait de « la Sécurité sociale un élément nécessaire à la période fordiste du capitalisme ». Il insiste au contraire sur « le caractère anticapitaliste des institutions de socialisation du salaire ».
Il anime l'Institut européen du salariat et l'association d'éducation populaire Réseau Salariat, qui promeut l'idée d'un « salaire à vie » pour tous, une proposition alternative au revenu de base, idée que Friot dénonce comme étant « la roue de secours du capitalisme »
Ses recherches portent sur la sociologie du salariat et la comparaison des systèmes de protection sociale en Europe. Ses travaux ont également porté sur les retraites, allant à l'encontre des réformes proposées par le gouvernement en 2010.
Cette conférence-débat sera suivi d'un moment de convivialité
20:17 | Lien permanent | Commentaires (0)