28/04/2013
26 avril 13 ARAGON
26 Avril 13 ARAGON
Belle soirée autour de la vie et de l’œuvre d’Aragon, à la salle verdier
Pas mal de monde, à la limite de la gauge, un espace livre, et petite collation pour terminer la soirée vers 22h ? C’est dire si l’animation fut intéressante pour tenir si longtemps.
D’abord un spectacle de chant par le « groupe ça ira » à partir des 30 poèmes publiés en 1982 en hommage à son ami le peintre Marc Chagall sous le titre « celui qui dit les choses sans rien dire »
La soirée se poursuivi par une conférence débat de Pierre Juquin sur la vie d’Aragon. Celui-ci auteur de 2 livres, 1500 pages nous offrit un voyage de la naissance trouble à la mort de cet intellectuel. Vie amoureuse, rencontres peu banales et vie avec Elsa Triolet, mais aussi son homosexualité déclarée après la mort d’Elsa affirme une vie complexe et pleine à la fois.
Mais celui qui fut l’ami des artistes, est aussi poète, écrivain, critique d’art et journaliste son œuvre reste à être découverte par la plupart d’entre nous, qui ont accédé à sa poésie grâce aux chanteurs jean Ferrat et Léo Ferré.
Nous ne pouvions pour cerner cet immense personnage sans passer à côté de son engagement politique au parti communiste, dans des périodes faste du front populaire à celle plus difficiles de la révélation du stalinisme en URSS. Toujours fidèle, mais la découverte de ses écrits à partir des archives trouvent dans le livre des éclairages qui révèlent sa sensibilité alors que certains ont essayé de le faire passer pour celui qui cautionnait. Ainsi cet artistes, ce grand intellectuel, se touche à tout, à travers sa vie, nous permet un autre regard sur notre histoire
Soirée assez jouissive pour les neurones, trop souvent au repos
Serge Camboulive
12:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/04/2013
26 Avril SOIREE ARAGON Salle Verdier 18h
Saison 2013-2014
Les « Amis de la librairie Diderot » les « Amis de l’Huma» la « Slvie Costières » proposent :
Conférence-Débat
Avec Pierre Juquin
Autour du livre : « Aragon, un destin français »
"J’ai voulu tenter de réfléchir sur la logique de cette vie"
Pour Pierre Juquin, le parcours de Louis Aragon est celui d’un homme qui, de bout en bout, est resté lui-même. Haine de la guerre, du colonialisme, détestation de la bourgeoisie et de son asservissement à l’argent ont construit son œuvre et sa vie.
Le vendredi 26 Avril 2013
A 19H
Espace socioculturel CMCAS DU LANGUEDOC*
220 rue Guy de Maupassant 30 000 Nîmes
ET AUSSI …..NOUS AVONS LE GRAND PLAISIR DE VOUS PRESENTER
En avant-première
A 18H
Groupeça ira
Celui quiditleschoses
Sansrien dire
Création Octobre 2012
Musique : Antonio Bastaroli Poèmes de Louis ARAGONdécors de Pierre Cayol et du Groupe ça ira
Centrés sur un tableau précis ou donnant à voir l’univers imprévu du peintre, les textes ont été mis en musique par Tonio Bastaroli qui les interprètera avec un quatuor de lectrices chanteuses
Louis Aragon a écrit 30 poèmes en hommage à son ami peintre Marc Chagall, publiés en 1982, l’année de sa mort, dans le recueil « Les adieux » .Sous le titre « Celui qui dit les choses sans rien dire ».
« Je passe pour l'ami de beaucoup de peintres » L. Aragon
La soirée est organisée
En partenariat
Avec :
« Les Amis de l’Huma »
« Les Amis de la librairie Diderot »
La librairie Diderot/Tel 04 66 67 96 03
Et CMCAS-Languedoc –Slvie Costiéres
*La salle de la CMCAS est située dans le quartier du Mas Verdier, en face du Lycée Philippe Lamour (périphérique), à gauche en venant de Nîmes, un parking vous attend !
11:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/03/2013
16 mars journée de la femme
JOURNEE DE LA FEMME 16 Mars
Belle soirée conviviale, présence de membres de la slvie D’Aramon et massivement de petite Camargue, mais très faible participation pour les locaux
21 personnes, ont t écouté et débattu avec l’historien R Huard, qui nous a fait une analyse de l’arrière du front de 1914 à 19. Un effort de guerre important, les femmes aux avant-postes de l’organisation de la vie, agricole et industrielle, une émancipation de fait qui bouscule les traditions et images de la femme à cette époque. Mais aussi la fin de la guerre, les mutilés, la crise et une place qu’elles n’entendent pas abandonner
Vint l’heure du film, certes l’histoire du godemiché, amené de façon humoristique, sur fond social, les bourgeoise en mal d’attention, ou dans l’oisiveté seraient elles hystériques au point d’en faire une maladie, alors que les femmes du peuple serait épargnée de cette épidémie, mais en fait avaient elles le temps de se pâmer. Le volet social de la société nous ramène vers la solidarité par opposition à l’égoïsme de classe
Vint l’heure du partage, apero et auberge espagnole ou le débat s’est poursuivi autour de la table
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0)